De l’amour à la dépendance – Un voyage périlleux dans le monde des drogues
Sur Facebook, Hanna-Mari Kärki a raconté son horrible histoire. Le récit révélateur d’une jeune femme jetée dans le monde impitoyable de la toxicomanie. Tout a commencé lorsque, à l’âge de dix-sept ans, elle a commencé à éprouver des sentiments amoureux. C’est aussi à ce moment-là que la drogue a commencé à occuper sa vie.
Tableau : Biographie et informations personnelles de Hanna-Mari Kärki
Nom | Hanna-Mari Kärki |
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Âge | 27 ans |
Début de la dépendance | À 17 ans |
Drogue initiale | Subutex et thé de pavot |
État civil | Célibataire |
Lieu d’origine | Jyväskylä, Finlande |
Histoire partagée sur | |
Nombre d’années de lutte | 10 ans |
Récupération | En cours |
Lien vers la page de témoignage | Facebook – Témoignage de Hanna-Mari |
Son homme était accro aux stupéfiants. Elle a pris la décision de le suivre. Le pavot a été la première substance consommée. Peu de temps après, le Subutex est arrivé. Elle a rapidement sombré dans la dépendance. Elle dit qu’elle aimait cet homme autant que les drogues.
Addiction et amour : L’histoire de Hanna-Mari Kärki
Elle parle de cette période comme d’une descente dans la morosité. Tous les matins, elle n’avait qu’une idée en tête : comment se procurer sa dose quotidienne. Peu à peu, elle s’est aperçue qu’elle était prise dans un engrenage dont il semblait impossible de sortir.
À plusieurs reprises, Hanna-Mari a tenté de quitter cette planète. Mais les symptômes de manque sont intolérables. Elle dit que l’agonie l’empêche de continuer sans consommer, car elle est comme un marteau qui frappe ses os. Pourtant, à plusieurs reprises, elle n’a pas pu s’arrêter.
Les symptômes de sevrage : un calvaire quotidien
Le sevrage est l’un des défis les plus difficiles à relever dans la lutte contre la dépendance aux opiacés. Selon Hanna-Mari, ces symptômes se traduisent par de graves souffrances émotionnelles et corporelles. Son quotidien était fait de douleurs osseuses intenses, d’insomnies et d’une perte totale d’appétit.
Outre la souffrance physique, le sevrage a entraîné des sautes d’humeur, une mélancolie sévère et de l’anxiété. Ses sensations terribles et omniprésentes la ramenaient sans cesse vers les médicaments. Plus que toute autre drogue, les opioïdes ont développé une habitude difficile à surmonter.
Un cycle néfaste
Son premier coup de foudre ne s’est pas limité à une personne. Il concernait aussi les drogues. L’amour l’a poussée à prendre de mauvaises décisions. Sa romance l’a plongée dans un monde où les drogues étaient omniprésentes. Elle est entrée dans un environnement dont il semblait impossible de s’échapper à 17 ans.
Sa vie est devenue un cycle de consommation. Chaque matin, elle réfléchissait à sa prochaine dose. Elle ne pouvait pas rester à l’écart, malgré ses meilleures tentatives. La dépendance a contrôlé sa vie pendant dix ans, l’entraînant progressivement vers le bas. Son courage l’a néanmoins aidée à échapper à cette misère.
Le combat de la réhabilitation
Après de nombreuses tentatives infructueuses, Hanna-Mari a enfin trouvé la volonté d’arrêter. De nombreuses personnes ont réagi au fait qu’elle ait choisi de partager son histoire. Son histoire devrait aider d’autres personnes à ne pas répéter les mêmes erreurs.
Elle a pris la parole aujourd’hui pour raconter ce qui s’est passé. Ses propos sont un appel à la réparation, à la connaissance et à la prévention. Pour Hanna-Mari, raconter son expérience, c’est sauver des vies.
L’espoir d’une nouvelle vie
Le récit de Hanna-Mari Kärki est celui d’une lutte courageuse contre la toxicomanie. Son point de vue est simple : on peut fuir la misère de la drogue. Il suffit d’avoir du courage et d’être encouragé. Elle raconte son histoire pour aider d’autres jeunes à éviter les mêmes pièges.
Son récit est synonyme de force d’âme. Hanna-Mari montre que l’on peut se rétablir après avoir touché le fond. Elle est un modèle de force d’âme dans l’adversité.